Grâce aux nouveaux dispositifs inclus dans la loi LOM, les entreprises sont largement incitées à mettre en place des actions concrètes pour réduire leur empreinte carbone. La gestion de flotte automobile est donc directement concernée. La promotion des modes de transports alternatifs à la voiture auprès des salariés y tient une grande place. Et si le véhicule de fonction n’était plus si attractif ? Coût pour l’entreprise, temps de déplacement, adaptabilité aux milieux urbains, espaces de stationnement, et bien sûr, émissions polluantes. Passage en revue de tout ce que vous et vos salariés gagnerez à choisir le Crédit Mobilité.
Le crédit mobilité revient moins cher que la flotte auto.
Passer au Crédit Mobilité peut vous faire économiser sur de nombreux postes de dépenses :
Réduire les coûts de votre flotte auto grâce au Crédit Mobilité.
Après calcul du « TCO (Total Cost Ownership) flotte », qui représente le coût total généré par la détention ou la location de véhicules d’entreprise, on réalise que les dépenses indirectes sont aussi nombreuses qu’importantes.
Le prix du véhicule n’est finalement pas ce qui compte le plus en comparaison des trois premiers postes de dépenses qui sont : la dépréciation du modèle, les cotisations, et l’entretien-pneumatique-assurance ( source Arval Mobility Observatory, anciennement Observatoire du Véhicule d’Entreprise).
Parmi les autres coûts indirects on trouve également les frais administratifs, le temps d’organisation et de gestion consacré à la flotte (en moyenne 58 heures par an et par véhicule).
Le passage au Crédit Mobilité permet de raisonner en TCM (Total Cost of Mobility) pour obtenir une vision globale des déplacements et des divers coûts liés à la mobilité. La suppression de tout ou une partie des coûts de flotte-auto, remplacés par des transports doux et de la location ponctuelle réduit considérablement la note des frais indirects.
Pour bénéficier d’un accompagnement et découvrir un outil de gestion global du Crédit Mobilité, contactez-nous.
Gagner en productivité
La fatigue et le stress causés par la conduite, particulièrement en horaires de pointe et sur des trajets longs, ne permettent pas aux salariés d’arriver sereinement sur leur lieu de travail. En leur permettant de choisir d’autres formes de mobilité, ils peuvent gagner un « temps utile » en plus.
Le train est l’un des meilleurs exemples : le temps de trajet se transforme en temps de repos et/ou de travail plutôt que d’être perdu en conduite stressante, sans parler du gain en sécurité. Le recours au taxi, ou à la location de véhicules électriques individuels entre les grands déplacements permet d’éviter la question du stationnement.
Qu’il s’agisse de trajets domicile-travail ou de déplacements professionnels plus ou moins longs, le salarié est libre de choisir son mode de transport afin de voyager dans les meilleures conditions.
Le crédit mobilité répond mieux aux attentes des salariés que le développement du parc auto.
Proposer le Crédit Mobilité, c’est aussi répondre à des exigences environnementales, et sociétales, qui font partie des préoccupations des Français et donc de vos salariés.
La voiture de fonction n’est plus un argument.
La voiture de fonction était prisée des salariés car elle représente du salaire en plus. Or le Crédit Mobilité change la donne, puisqu’il constitue également une somme d’argent considérable (de 4000 à 10 000 euros/ an selon les salariés et l’entreprise) mise à la disposition du salarié.
La génération des nouveaux recrutés (X et Y), habituée aux déplacements en modes doux, n’est plus si sensible à l’avantage représenté par le véhicule de fonction. En zone urbaine plus particulièrement, le développement des offres de location courte durée de véhicules individuels électriques (vélos, trottinettes) a créé de nouveaux réflexes. La difficulté de stationnement ne pousse pas les urbains à détenir un véhicule si un autre choix se propose. La tendance est à la « praticité et à l’économie » (Bruno Marzloff sociologue fondateur du cabinet Chronos), d’ailleurs 61% des 18-34 ans ne voient pas la nécessité de posséder une voiture (Yoann Demoli, maître de conférence et co-auteur de Sociologie de l’automobile).
Le Crédit Mobilité peut être dépensé librement.
En abandonnant en partie ou totalement le véhicule de fonction, ou en changeant de gamme de véhicule, le salarié bénéficie d’une cagnotte qui lui permet d’utiliser les moyens de transport en toute autonomie. Cette liberté et la flexibilité qu’elle accorde permet au salarié d’adapter son mode de transport au besoin spécifique de son déplacement, qu’il soit professionnel ou privé. Il ne perd ainsi en rien son avantage en nature et peut utiliser son crédit mobilité pour des déplacements le week-end ou en congés comme il le faisait avec son véhicule de fonction. Mais avec cette fois, le choix d’emprunter une solution plus verte !
Réduire les émissions polluantes.
Le Crédit Mobilité permet par-dessus tout de faire une place importante aux modes doux et à la mobilité verte. Il propose aux salariés de varier leurs modes de déplacements et de préférer à la voiture thermique, polluante, encombrante et bruyante, d’autres alternatives adaptées. La réduction de l’empreinte carbone étant une préoccupation de plus en plus importante, autant chez les salariés que côté entreprise (démarche RSE), le développement de mesures incitatives est une tendance globale. Vélo, marche, trottinette, train, transports en commun, covoiturage, véhicules électriques, les options ne manquent pas pour changer ses habitudes.